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mer. 03 avril

20H00 L'OASIS

Nuit Incolore

+ Léman

L'OASIS Placement libre Debout
Organisé par : SUPERFORMA

Nuit Incolore

C’est lors d’une de ses interminables insomnies que le jeune suisse Théo Marclay trouve son nom de scène : NUIT INCOLORE.
Désormais, il passera le reste de ses nuits blanches entre les murs froids de sa chambre d’étudiant à composer des chansons, semblables à des poèmes mélancoliques, grâce à ses talents d’auteur-compositeur-interprète. Fort de 10 années d’apprentissage en conservatoire, NUIT INCOLORE met en scène, du bout de ses doigts, les doutes et les peines qui l’habitent grâce aux notes de son piano qui lui permettent d’attirer la lumière dans les coins les plus sombres de sa personne, comme s’il était le héros de son propre manga. La solitude, l’abandon et l’amour sont les thèmes récurrents de son oeuvre.
Inspiré de chanteurs comme TSEW THE KID et JOJI, mais aussi par les films de TIM BURTON et les animés japonais, l’univers de NUIT INCOLORE est un voyage, une invitation hypnotique à passer des “nuits sans couleur” à ses côtés.

Léman

Comment parler du monde que l’on voit comme de celui que l’on aimerait voir ? En usant des mots avec sagesse… et un brin d’amusement. Léman, c’est ce lyonnais arty, à l’esthétique chic et élégante, capable de reprendre avec humour un standard de la chanson populaire en version distinguée et mélancolique autant que se livrer sur une période douloureuse dans On attend. Une attente vécue qui l’a transpercée et qu’il n’hésite plus à montrer et à chanter - comme pour s’aider lui-même.
Léman est progressiste. C’est cet artiste de son temps qui a tout compris de son époque : sauf que lui a aussi bien les codes des réseaux sociaux, qu’il ne s’imprègne de la littérature de Camus.
Léman, c’est celui qui n’hésite pas à se mettre à nu face à sa famille, comme à sa communauté et à convoquer la philosophie. Sa musique, c’est ça : savoir être dans l’époque et savoir en parler avec les apprentissages du passé. Une époque dont il convient d’admettre la dureté mais en y ajoutant de l’espoir - comment faire, sinon ?
Léman, lui, a la méthode : combiner l’art, la littérature et - surtout - un peu de folie, pour tenter de vivre dans un monde meilleur.