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Gratuit

mar. 24 sept.

19H45 Université du Mans

Isaac Delusion + Adèle Castillon + Locomo

Campus en Fête

Université du Mans
Organisé par : Superforma
En partenariat avec, Eve - Service Culture - Le Mans Université et le Service jeunesse de la Ville du Mans

Isaac Delusion

Après 3 ans de silence, Isaac Delusion revient avec un quatrième album inespéré. Fondé en 2012, survivant d’une scène française « 2010’s » influencée par les groupes anglo-saxons, le projet s’inscrit dans la durée, quitte à faire figure d’exception dans un monde où tout augmente, sauf la durée de vie des groupes.

Le single “let her go” sorti le 27 juin dernier est le premier volet de ce nouveau chapitre. Le titre évoque la relation qu’une mère, un père, peut avoir avec son enfant. Pas toujours simple de le laisser vivre sa vie, prendre son envol, faire ses expériences.

Pour la toute première fois de son histoire, le projet s’est ouvert à des  musiciens et producteurs extérieurs au groupe pour finaliser ce 4ème opus. La participation sur 6 titres de l’album de LUCASV, architecte du dernier album de Disiz, au projet en témoigne.

En une dizaine d’années, Isaac Delusion a sorti plusieurs albums acclamés, « Isaac Delusion » (2014), « Rust & Gold » (2017) et « Uplifters » (2020). Chacun de ces opus révèle une évolution musicale constante, témoignant de l'exploration et de l'expérimentation du groupe dans de nouvelles directions sonores. Avec des titres phares comme "She Pretends", "Midnight Sun” ou "Isabella", le groupe a su séduire un large public.

La pop, musique intemporelle par excellence, a toujours eu de nombreux fans et le public du groupe lui reste fidèle depuis ses débuts. La pop anglo-saxonne, elle, a ses codes, indémodables. Des codes qu’Isaac Delusion maîtrise à la perfection et complète d’une touche personnelle très forte, mise en lumière par l’empreinte vocale immédiatement reconnaissable de Loïc, chanteur/compositeur du groupe. Ce dernier reconnaît par ailleurs être inspiré par des artistes comme Phoenix, James Blake, Sufjan Stevens ou encore par la folk angélique de Angelo De Augustine, mais c’est plus une question de sensibilité partagée que de références.

Adèle Castillon

À 20 ans, malgré cette jeunesse insolente qui nimbe son regard brun d’un éclat pur et vif, l’Angevine ADELE CASTILLON a déjà vécu plusieurs vies, fictionnées ou réelles. De quoi nourrir sans effort les textes intimistes d’un premier album racontant sans fard une première rupture amoureuse, les tourments de la dépendance affective et de la dépendance tout court. Le tout avec cette authenticité et cette fraîcheur poétiques qui rendaient déjà irrésistibles les chansons de Vidéoclub, le duo électro pop à la nostalgie très 80’s qu’elle forma à Nantes avec Matthieu Reynaud, à l’âge de dix-sept ans. Les débuts frémissants d’une jeune artiste qui devrait, on le parie, compter dans les mois à venir.

Locomo

Avec trombone, contrebasse, guitare électrique et machines, ce trio atypique embarque le public pour un voyage sur les rails du solar groove. Se nourrissant de multiples influences allant du dance-hall à l’électro en passant par le rock progressif le groupe emmène les spectateurs vers des paysages imaginaires où prédomine la transe et le groove. Laissez vous embarquer dans ce trip acoustico-digital !