Aller au contenu principal
Complet

jeu. 27 ven. 28 janv.

Centre de transfert de technologie du Mans

Maud Geffray - STILL LIFE : concert en son 3D

Le Mans Sonore

Terminé
Carte Superforma : 5€
Tarif plein : 10€
L'accès à ce concert est soumis à la présentation du “pass vaccinal” . Les billets achetés avant le 24 janvier 2022, sa date d'entrée en vigueur, sont remboursables sur demande par mail à l'adresse : billetterie@superforma.fr
Centre de transfert de technologie du Mans
Le concert débutera à l'heure - Nous ne pourrons pas vous laisser accéder à la salle une fois le concert démarré
Organisé par : Radio France, le CTTM, Metacoustic et Superforma

Radio France, le Centre de transfert de technologie du Mans, Metacoustic et Superforma vous convient à cette immersion orchestrée par Hervé Déjardin, ingénieur du pôle son 3D de la Maison de la Radio, en quête d’hyperréalisme pour repousser les limites de notre perception du son et de la musique : entourés d’une douzaine de haut-parleurs de haute qualité, l’ingénieur du son et l’artiste sont au milieu des spectateurs et dirigent ensemble la musique dans toute la salle. Un logiciel permet de déplacer les sons dans l’espace comme des entités mouvantes. Si ce genre de dispositif a existé dans des lieux de concerts, il n'a jamais eu lieu dans un équipement avec une acoustique aussi précise que la chambre semi-anéchoïque du CTTM (la plus grande d'Europe).

Le pari : procurer au spectateur une charge émotionnelle forte, un rapport à la musique live réinventé. Une expérience sensorielle inédite !

Réservez votre séance

JEUDI 27 JANVIER - 18H

JEUDI 27 JANVIER - 19H30

VENDREDI 28 JANVIER - 16H

VENDREDI 28 JANVIER - 18H

VENDREDI 28 JANVIER - 20H

Où ?
Chambre semi-anéchoïque du Centre de transfert de technologie du Mans - 20 Rue de Thalès de Milet, 72000 Le Mans

Maud Geffray présente "STILL LIFE" – A Tribute To Phlipp Glass feat. Laure Brisa (Harpe)

Mélanger électronique et instruments classiques est devenu un incontournable des musiques modernes, et les plus grands s’y sont frottés avec plus ou moins d’aisance. Face à cet exercice périlleux, Maud Geffray a eu l’intelligence de ne pas se laisser emporter par le tourbillon respectueux de la musique classique ou l’envie de coller exactement à l’œuvre de Glass, mais de n’en garder qu’évocations, motifs, manières de composer, comme une tentative de pénétrer dans la tête de Glass.

De l’œuvre de Glass qui a baigné son enfance, Maud, accompagnée de la harpiste Lavinia Meijer, s’est concentrée, sur les deux classiques "Einstein On The Beach" et "The Photographer" : "L’important était de trouver des points de jonction, des passerelles entre ces deux œuvres, comprendre son sens de la répétition, sa façon d’utiliser des boucles qui ne sont jamais identiques, explique Maud. L’idée n’était pas de faire des reprises exactes et c’est ce qui m’a séduit dans ce projet. Lavinia est une spécialiste de Glass, et elle l’interprète à merveille, mon rôle était de bousculer tout ça, d’emmener tout ce monde ailleurs, vers les machines, l’électronique et mon ressenti."

Retravaillé en studio, après deux performances live, "Still Life" porte au plus profond de lui l’univers cinématographique développé par Maud, notamment avec l’album "Polaar". Elle a ainsi construit autour du maître, une sorte de voyage onirique et romantique, mélancolique et élégiaque. Comme si, à travers ces 8 titres, qui passent de l’apaisement à la tension, Maud Geffray prenait la main de Philip Glass pour l’accompagner en club ou en rave, et lui montrer l’immensité de son influence sur les musiques électroniques actuelles.