Inspiré par les atmosphères obscures et cinématographiques des Psychotic Monks, Slift, mais aussi par les couleurs pop et lumineuses de Shame, Basic Partner sème le trouble entre le pesant et le doux, telle une relation entre deux partenaires.

Hyper Jacuzzi, c’est le road trip analogique de trois musiciens improvisateurs qui dérive sur un live progressif et jubilatoire, empreint de la culture acid-tech des années 90.
Danse, transe, et liberté… Ces énergies intuitives sont propulsées sur le dancefloor dans une performance inspirée des DJ sets de Jeff Mills, Blawan ou Jon Hopkins.
Pas de machines, pas de samples : le son brut du trio sax-basse-batterie est traité en direct pour générer une musique techno house vivante et changeante, gonflée et modulée par l’énergie du live.

Formée sur les bases d’une amitié tripartite, l’Île de Garde dérive au gré d’influences diverses. Accostant tant en villes qu’en terres lointaines, l’île voyage sans but précis en se donnant la liberté du vagabondage 2.0. Nappes souterraines (de synthé), rythmes aériens et langues de la vieille Europe vous convie à un voyage aller simple.

Les souvenirs passent habituellement par les images, capturées au gré du temps et des découvertes. Les sons, eux, sont les éléments moteurs d’une tout autre mémoire qui fait ressurgir, vivants, les espaces et places visités au cours d’un bout de vie. Le corps est un livre, le son en est un extrait, il véhicule un message qui raconte une histoire.

C’est cette histoire sonore que Nouveau Monica choisit de raconter au travers de ses créations.

En travaillant sur ses compositions comme un peintre le fait sur ses tableaux, le producteur a naturellement trouvé l’équilibre et la maturité nécessaires pour divulguer une palette sonore franche et assumée.

Et c’est très certainement grâce à cette volonté de générer des images qui invitent au voyage, que Nouveau Monica réussit à révéler sa vision manifestement cinématographique d’une musique électronique authentique et multidisciplinaire.

Paulvitesse! fait ses premiers pas en studio il y a cinq ans en s’inscrivant dans un registre mêlant textes rappés et chantés. Par la suite, il dévoile une nouvelle facette musicale basée sur l’hyperpop et ses courants alternatifs plus rapides, plus incisifs qui le placent au cœur d’une nouvelle vague de rappeur·ses.

Treaks est l’un des trios nantais les plus intriguants du moment. Trois entités qui s'expriment dans une atmosphère clinique parsemée d'attaques noisy. Leur musique emprunte à droite et à gauche, lorgnant autant du côté du post punk motorique que de la soul et du rock. Treaks refuse de s’incliner et veut s’affirmer envers et contre tout. Iels secouent leur public avec ironie, leur font grincer des dents et les invitent à lâcher prise. Un basse/batterie frontale, des textes mordants, un lead un peu fêlé (la voix imparable de Clothilde)... De quoi se laisser porter par la colère salvatrice du trio nantais.